L’idéal du beau est l’une des plus importantes caractéristiques de la Renaissance. Il est en particulier véhiculé par les portraits féminins plus ou moins idéalisés. En effet, ceux-ci, ainsi que des représentations de femmes chez le peintre Sandro Botticelli, ne sont pas uniquement des pures expressions des canons esthétiques de l’époque. Ils sont issus des idées philosophiques néoplatoniciennes, des codes de l’amour courtois, de la poésie de Pétrarque et Dante... La beauté terrestre inspire l’amour qui mène vers le divin. Dans la poésie, la peinture ou bien dans la vie, la culture humaniste place la femme dans la nature et fait de sa représentation un moyen de comparaison de la peinture à la poésie.

De la Vénus hottentote en 1810 jusqu’en 1940 en Europe et aux États-Unis, un grand nombre « d’exhibitions d’êtres humains » ont été organisées de par le monde. La notion de « bon sauvage » chère à Rousseau est oubliée, on invente et on expose l’Autre, celui qui est différent et par là même inférieur, donc sauvage. Du zoo animal on dérive vers le « zoo humain ». Un racisme qui s’affirme ? Sous couvert de progrès scientifique ? Un rappel de ces tristes faits bien souvent ignorés qui ont aussi prospéré en France au XIXe siècle, notamment au Jardin d’Acclimatation.

Depuis le milieu du XVIIIème siècle, la Côte d’Azur a attiré les écrivains. Ce rivage béni des dieux est devenu un mythe littéraire dès lors que ces derniers y ont fixé leur propre légende. À Cannes, alors ville thermale, les raisons tiennent souvent à la promesse d’un séjour bénéfique pour la santé. C’est le cas pour Maupassant et Mérimée, qui ont laissé leur empreinte dans la ville. Maupassant va y trouver les conditions les plus favorables pour lutter contre la maladie qui le terrasse. À bord de son voilier le « Bel Ami », il découvre la Côte et nous en livre de merveilleuses descriptions. Mérimée, lui, craint que la ville ne se civilise trop et guette avec angoisse l’arrivée du chemin de fer. Il dénonce l’aspect des demeures construites par les Anglais, sans aucun rapport avec l’architecture méridionale.

Depuis le milieu du XVIIIème siècle, la Côte d’Azur a attiré les écrivains. Ce rivage béni des dieux est devenu un mythe littéraire dès lors que ces derniers y ont fixé leur propre légende. À Cannes, alors ville thermale, les raisons tiennent souvent à la promesse d’un séjour bénéfique pour la santé. C’est le cas pour Maupassant et Mérimée, qui ont laissé leur empreinte dans la ville. Maupassant va y trouver les conditions les plus favorables pour lutter contre la maladie qui le terrasse. À bord de son voilier le « Bel Ami », il découvre la Côte et nous en livre de merveilleuses descriptions. Mérimée, lui, craint que la ville ne se civilise trop et guette avec angoisse l’arrivée du chemin de fer. Il dénonce l’aspect des demeures construites par les Anglais, sans aucun rapport avec l’architecture méridionale.

À l'occasion des 150 ans de l’impressionnisme, nous vous invitons à redécouvrir Gustave Caillebotte (1848-1894), un artiste aux multiples facettes. Peintre talentueux au regard unique, Caillebotte nous plonge dans la vie moderne de la fin du XIXe siècle, capturant à travers ses toiles le Paris en pleine transformation et l'émergence d'une société de loisirs. Compagnon de route des impressionnistes, il a non seulement enrichi ce mouvement par ses œuvres, mais aussi par son rôle de mécène et collectionneur. En soutenant financièrement les expositions et en offrant à la France une quarantaine de chefs-d’œuvre, Caillebotte a joué un rôle crucial dans l’introduction de l’impressionnisme dans les musées français.

Frédéric Vincent, arrière-petit-neveu d’André Capron, nous apporte, à partir de documents familiaux inédits et de recherches dans des bibliothèques parisiennes, un portrait méconnu et surprenant de son arrière-grand-oncle, qui a contracté un fabuleux mariage et a su, par son charisme, se faire accepter aussi bien par la population cannoise que par l’élite de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie européenne. Maire de Cannes, par ses initiatives visionnaires il permettra à sa ville de garder son rayonnement mondial. Enfin sa générosité proverbiale auprès des plus démunis lui consacrera une grande popularité.

Frédéric Vincent, arrière-petit-neveu d’André Capron, nous apporte, à partir de documents familiaux inédits et de recherches dans des bibliothèques parisiennes, un portrait méconnu et surprenant de son arrière-grand-oncle, qui a contracté un fabuleux mariage et a su, par son charisme, se faire accepter aussi bien par la population cannoise que par l’élite de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie européenne. Maire de Cannes, par ses initiatives visionnaires il permettra à sa ville de garder son rayonnement mondial. Enfin sa générosité proverbiale auprès des plus démunis lui consacrera une grande popularité.

Projection d’un film de 45 minutes sur la thématique de la « Santé », suivie d’une conférence. Cette conférence explorera l’impact de l’IA dans le domaine de la santé, en illustrant comment les technologies émergentes améliorent diagnostics et traitements. L’IA est désormais capable d’analyser d’immenses quantités de données médicales, détectant des anomalies que les méthodes traditionnelles pourraient manquer. Elle optimise les processus hospitaliers, améliorant ainsi l’efficacité des services de santé. Découvrez comment ces avancées technologiques transforment la médecine et la vie des patients et des professionnels de santé.

Depuis les premières découvertes, en 1852, jusqu’à sa production dès 1942, la pénicilline fut l’objet de beaucoup de publications et de recherches. En 1897, le médecin militaire Ernest Duchesne est le premier scientifique à découvrir que certaines moisissures peuvent neutraliser la prolifération des bactéries, mais cette découverte reste inexploitée. Il décède en 1912 à l’âge de 38 ans, et est alors enterré à Cannes. En 1929, Alexander Fleming découvre, à Londres, qu’un champignon microscopique synthétise une substance antibiotique qu’il appelle pénicilline. En 1938, Howard Floray réussit à produire de la pénicilline purifiée. La production industrielle commence à partir de 1942 en Grande Bretagne et aux États-Unis, en 1945 en France. Ainsi commence l’aventure du centre Cabanel...

« Étoile filante au firmament de la gloire, Gérard Philippe fut le héros romantique et élégant, aventurier et voyageur, mais également nuancé et complexe du théâtre et cinéma français des années 40 et 50. Militant engagé pour son art, son métier, observateur attentif de l’Histoire politique de son temps, il connut la célébrité, d’abord au théâtre, puis la consécration sur le grand écran sous la direction des plus importants cinéastes, Claude Autant-Lara avec « Le Diable au Corps », Christian-Jacque avec « La Chartreuse de Parme » et « Fanfan la Tulipe », Yves Allegret avec « Une si jolie petite plage », Max Ophuls avec « La Ronde », René Clément avec « Monsieur Ripois » ou encore René Clair avec « Les grandes manœuvres ».